« Après-demain, c’est le jour des poissons d’avril. »
A ce regard de connivence entre ton frère et toi,
J’ai très bien compris que c’était moi, votre cible.
Je me suis bien méfié, tout le long de la journée.
Avant de te coucher, tu as dit: « Poisson d’avril! »
J’ai retiré ma chemise pour en consulter le dos.
Rien. Tu m’as dit: « Je t’ai bien eu, poisson d’avril! »