Athos, Porthos…

Trois fois : Ici, c’est chez toi, Pierre!
Il y en a d’autres, je sais. Mais…

Les potes à Pierre!


A toi!

A toi qui, pour ton anniversaire,
N’a eu que la moitié de ton frère.
Tu as été attentionné, solidaire,
Comme personne ne peut le faire.
Veiller sur toi, je l’ai promis à Pierre.
Et mon serment a satisfait Pierre!

Comme tu l’as si bien dit,
Nous voir continuer ensemble,
Est ce qui rendra heureux Pierre!


A toi aussi!

A toi, l’adepte des fantômes
Qui peux voir si loin, parfois.
A toi qui parles avec mon môme,
Comme s’il était devant toi!
Toi qui, pourtant occupé aux tiens,
Me dis toujours qu’il va bien,
Qu’il est là, avec nous, c’est certain!

Ensemble et pour nous, ce voyage-là!



A toi, toujours!

A toi, le môme de là-haut,
Abîmé, perclus, mais tout droit.
A toi, le papa de là-haut
Qui a, enfin, eu son enfant-roi!
A toi, le poteau de là-bas
Qui a su ouvrir ses bras.
Il y a du grand-frère en toi!

Tu vois que je parle de toi,
Mais que je ne te nomme pas!
Il me faut t’en demander le droit.

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