Le petit fantôme!

J’ai compris, cette fois,
Mes tifs dressés, tout droits.
Puis, j’ai couru vers toi
Et je t’ai pris chez moi.

Un aîné veille sur toi,
Tu as un peu moins froid.
Puis, tu restes avec moi,
Bien au chaud, sous mon toit.

Et dans la rue, parfois,
Je me méfiais de moi,
De cette haine en moi,
Pour qui s’en prend à toi!

On s’est battu en rois,
Magnifiques, toi et moi.
Père, fils, frères à la fois,
Bien, ensemble, de surcroît!

Facebooktwitter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Merci de compléter le CAPTCHA. Vous devez recopier les chiffres dans le champs de saisie. S'il y des cases avec des dés, il faut les compter et saisir le résultat.