Diaphane, mais pas évanescent!

Quand je te rends visite dans les limbes, je te retrouve souvent assis près d’un feu, sur la grève. J’ai beaucoup d’imagination, alors je trouve toujours le chemin. Je descends un sentier dans le noir, j’entends les vagues, je vois ton feu! On parle peu, c’est tranquille et paisible.

Jamal est là aussi. Parfois, je te l’amène. Il s’assoie contre toi et m’ignore totalement, le chameau!

Tu n’es pas vraiment pareil, mais on se reconnaît.

Merci pour le décor, mon grand, c’est tout à fait à mon goût!

Heureusement, je peux encore te rejoindre ailleurs, quand ça me dit bien de te voir. Tu passes aussi de temps en temps, on garde contact. On ne vit plus ensemble, c’est tout ce qui se passe. Normal quoi!

Dream, dream, dream!

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