T’entends le coucou, Pierro?

Assis du haut du balcon, je regarde…
C’est le printemps que je vois!

Je regarde le printemps ce matin. Ça pousse, ça vit, ça bouge à tous les étages! Je voudrais que tu vois ça.

C’est une des plus belles choses que je t’ai donné, Pierre, je crois. Du balcon, on suivait tout ça!

J’ai toujours autant le mal de toi. Mais c’est beau, c’est beau même sans toi!

Je voudrais que tu sois là, mon tout petit à moi.

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Ecoute cette chanson, mon grand!

Je savais bien te parler quand t’étais là!

Là, c’est plus dur. Je rame un peu et j’ai mal encore. Je suppose qu’il va me falloir du temps pour mûrir mes textes.

En attendant, je te passe une chanson qui me parle. Ecoute  la jusqu’au bout, s’il te plaît.  Je t’embrasse,  Pierro!

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Ca fait un an, Pierro!

On a cessé très vite de parler de toi. On se voit, mais on ne parle pas de toi. C’est comme si tu n’étais pas seulement mort, mais que tu n’avais pas existé vraiment! C’est bizarre.

Moi, je voudrais qu’on te célèbre. je voudrais qu’on parle de ce qui te caractérise, de ce qui faisait Toi!

Je voudrais beaucoup dire le respect et l’estime que j’avais, que j’ai pour toi, Pierre. Oh, ça!

 

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De nouveau l’été, les vacances!

 

Ton dernier été n’a pas été facile, Pierre.

On a passé presque tout notre temps ensemble. On s’est dit tout ce qu’il y avait d’important à se dire et on s’est serré fort. On a eu des moments bien, ensemble. Beaucoup même!

                             C’était ton dernier été, à toi, Pierro!

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