Tu ne demandais jamais rien , Pierre!

Pierre ne demandait jamais rien. Ceux qui se sont préoccupés de lui savent ça!

Hier, quelqu’un qui l’a connu enfant m’a dit un truc. Elle m’a dit: « Pierre, il était tout amour! »

« -Pierre, tu as des droits sur moi. Qu’est-ce que tu veux de moi?

– Je veux que tu m’aides à combattre l’angoisse, que tu me réconfortes et que tu t’occupes de moi! »

Je crois que ça dit tout, qu’on se disait tout. Pas d’ombre entre lui et moi!

La phrase à la con: « T’es venu,t’as vécu, t’as appris , tu n’avais qu’une seule chose à faire. Et t’as pas été foutu de la faire! »

-Avec roger_

J’y suis pas arrivé. J’me sens plutôt lavette, encore aujourd’hui. Je ne te demande pas pardon, je n’en ai pas besoin. Je te connais, tu ne m’en veux pas!

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Phrase à la con n°1

Il s’en passe des trucs dans ma tête. C’est un merdier là-dedans et ça chauffe!

10.02.2012 _a fait chaud !!!!!

Si tu étais resté, tu aurais 28 ans bien tassés aujourd’hui. Sûrement un peu plus de bide. Tu aurais aussi moins de tifs. Oui, même toi, avec tes coupes « à la Poule »!

29.1.2012  » mai ou est le coiffeur???? « 

Je te trouvais beau comme tout. Je te l’ai dit un demi-million de fois . Tu ne répondais jamais. Sauf la dernière fois! Tu m’as regardé d’un coin de ton oeil ( le coup spécial Pierro, pour ceux qui connaissent!), tu m’as souri et tu m’as dit: « merci ». T’étais beau!

La phrase à la con: « Bon, on a bien rigolé. Maintenant, ça suffit. Rendez moi Pierre! »

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En mode chevaleresque!

Quand je t’écris, ça me prend souvent d’un coup, comme là. Je ne sais pas trop ce que je vais dire. J’ai  juste une phrase dans la tête, une idée que je veux habiller. Et puis, ça s’écrit presque tout seul. Et, comme là, ça va vite! Pour ce que ça vaut, baste!

Au moyen-âge,

Les derniers temps, tu aurais probablement pu passer pour mon écuyer. Un écuyer m’accompagnant dans mes voyages.

Mais, c’était pas du tout ça. Tu étais mon prince!

Pas genre: « Oui, mon jeune prince, il en sera fait comme vous le voulez. » Mais quand même!

Je te devais en premier lieu assistance et protection. Je l’ai fait. Je devais combattre tes ennemis, du moindre jusqu’à La Bête. Je l’ai fait. Je devais me préoccuper de ton bien-être. Je l’ai fait.

Je ne t’ai pas juré allégeance, il n’y a pas eu de cérémonie. Mais, j’étais à ton service. Tu étais mon prince. Cqfd!

Bien sûr, ça ne ne se passait pas vraiment comme ça. Mais ça y ressemble un peu.

Repose toi, maintenant. Repose toi, mon p’tit prince!

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Avant, je ne te connaissais pas.

Il fut un temps où j’aurais pu dire à quelqu’un: « Attaches toi, mais pas trop! »

Je ressens bien les nuances du lien qui m’attache aux autres. De la part la plus pure à la plus regrettable! C’est quelque chose que je cultive.

De même, je me fais un portait de l’autre et je le regarde retoucher le tableau.

Ta façon de peindre, à toi, c’était quelque chose! Un peu fouillis, c’est sûr, mais y avait de la couleur! Du contraste, plein de trucs que je ne connaissais pas, de l’allant!

C’est pour des choses comme ça que je dis qu’une personne est toujours plus large qu’elle n’en a l’air.

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A mon ami, à mon frère!

Esteem and Respect!

La première fois que j’ai su que j’avais de l’estime pour toi, c’est un jour où, pour une raison ou une autre, je me suis senti fier de toi. Bien sûr, ça m’a fait chaud. Mais j’avais plutôt, cette fois, un sentiment d’égalité entre nous. Comme avec un de mes pairs! Là, j’ai su, sans le moindre doute, que j’avais de l’estime pour toi! Je sais la sensation que ça fait.

Alors, mon grand, si tu permets,

« Respect, Pierre. Respect! »

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ReSpect anD Esteem

Dire la tendresse que j’avais pour toi, j’y arrive. Dire l’attachement que j’avais pour toi, j’y arrive. Mais, comment dire le respect et l’estime que je ressentais? Je veux parler de ça depuis le début. Je cherche des mots, des images, quelque chose qui parle. Je rame grave!

Un petit bonhomme fragile et un guerrier? Un petit homme, adulte et enfant? Non, ça ne va pas.

Il y a pourtant quelque chose là. Quelque chose dont tu peux être fier, toi. Je te le dis comme ça déjà, mais je réessaierai autant de fois qu’il faudra.

Qu’on te critique devant moi, je ne suis pas sûr d’apprécier. Je défendrai ton honneur mordicus. Comme Damien a défendu ton intelligence un jour! Il avait bien raison. C’est important. Mordicus!

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Pas sans toi!

 

                                   Des moments me reviennent par flash. Des diapos de toi se superposent, ça défile!

Je te vois quand tu bouges, quand t’es fatigué, quand tu souris et quand t’es pensif. Je te vois quand tu parles, quand tu n’es pas bien, quand tu ris! Je revois tellement de moments. Même dans les plus durs, il y a quelque chose de doux!

Des albums photos complets!

C’est fou que, pour un petit bonhomme, tu ais pris tant de place!

Non, de toute façon, ce ne sera pas sans toi!

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Lettre à Pierre n°4 !

On me dit que, là où tu es, tu ne souffres plus. Cela ne prend pas! Je sais bien que c’est foutu. Moi, je dirais tout bonnement que tu n’es plus.

Pourtant!

Certains soirs, j’ai l’impression que t’es là, avec moi.

J’aime à te parler. Et, c’est cool, j’ai toujours l’impression qu’on discute, que tu m’entends.  On continue, on suit le vent! T’en dis quoi, Pierre? T’en dis quoi, mon grand?

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Bonjour Pierre,

Bonjour Pierre,

Pauvre de moi…
C’est avec le coeur lourd que je m’abandonne en ce lieu.
Pauvre de moi…
C’est avec le coeur lourd que je t’envoie quelques mots dans les cieux.
Pauvre de moi…
C’est avec le coeur lourd que je t’écris des larmes pleins mes yeux.

Comme toi…
Mon coeur aussi était lourd comme une pierre.
Comme toi…
Mon coeur aussi était plus bas que terre.
Comme toi…
Mon coeur aussi était perdu dans les enfers.

J’étais bien loin…
Perdu quelque part entre ciel et terre.
J’étais bien loin…
Plongé dans un coma loin de ton père.
J’étais bien loin…
De mon ami de mon frère.

Repose en paix petit Pierre.

Geoffroy

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Tenderness and Respect!

Des fois, je repense à l’enfant que tu as été. Confiant et agréable aux adultes! Après, tu t’es démerdé tout seul, comme un grand, jusqu’à ce que l’angoisse ne t’en empêche vraiment.

Et moi, je protégeais le doux jeune homme triste que tu étais.

L’angoisse s’est acharnée à te démunir, à te garder enfant. C’est impardonnable! Toi, tu te comportais en homme. J’en témoigne!

De tous les PIERRE que je connais, c’est le plus récent que je préfère. Vous êtes tous là!

Vivre avec toi, ça a été énorme! C’était fort.

Repose en paix, Petit Être!

Repose en paix, Petit Frère!

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